Comment travailler en Australie ?

Comment travailler en Australie ?

Souvent présenté comme un Eldorado à la télévision, l’Australie fait rêver. On nous renvoie souvent l’image d’un pays où trouver un travail bien rémunéré est facile. Ça peut l’être, mais pas toujours ! Vous devez prendre en compte vos compétences professionnelles, la ville que vous choisissez ou encore la culture et la langue pour travailler dans la restauration en Australie.

Comme je vous le disais dans l’article de bienvenue sur ce blog, j’ai connu une expérience dans la restauration en Australie. Je vais donc vous livrer quelques conseils. Attention, j’ai rencontré beaucoup de personnes qui ont travailler en Australie et aucune n’a vécu la même aventure. Le résumé de l’Australie, c’est avant tout de se trouver au bon endroit, au bon moment.

Obtenir un visa de travail en Australie

La première condition pour travailler dans la restauration en Australie, c’est d’obtenir un visa de travail et il en existe une multitude.

Pour travailler rapidement sans trop de démarches administratives, j’ai choisis un visa Working Holiday. Après acceptation, vous avez 12 mois pour partir en Australie. Votre Working Holiday Visa démarre à votre arrivée sur le territoire australien.

Il vous permet de travailler pendant 12 mois mais pas plus de 6 mois pour le même employeur.

Vous avez également la possibilité de suivre des études pendant 4 mois. Pour les cours d’anglais, je vous conseille de vous organiser avant le départ afin de les prendre dès votre arrivée. Plus vite vous améliorez votre niveau d’anglais, plus vite vous serez apte à trouver du travail.

Les français peuvent postuler à un renouvellement de ce Visa, une deuxième année renouvelable uniquement sous conditions de travail agricole.

Voici les conditions d’éligibilité à ce visa :

  • Avoir entre 18 et 30 ans
  • Disposer de ressources financières : 5000 AU$ soit environ 3500€ pour subvenir aux premières dépenses du séjour
  • Souscrire une assurance santé
  • Ne pas être accompagné de personnes à charge

Formalités pour trouver du travail en Australie

Pour compléter votre éligibilité à un travail, vous devrez vous munir d’un numéro de téléphone australien et d’un numéro de TFN (formalités à faire une fois sur place).

Pour le numéro de téléphone, un opérateur comme Optus, Telstra ou Vodafone fera très bien l’affaire. Vous pouvez souscrire un abonnement ou prendre des recharges. Il y a également Aldi Mobile qui est une des offres les moins chères du marché et qui profite du réseau Telstra.

Le TFN est un code à 9 chiffres qui vous identifie auprès des autorités et institutions australiennes, comme la carte vitale en France. Ce numéro est personnel et définitif : vous conserverez donc le même numéro même si vous sortez d’Australie et y revenez quelques mois ou quelques années plus tard.

Il vous servira pour ouvrir un compte en banque, payer vos impôts et récupérer une partie de vos taxes. Votre employeur vous le réclamera donc car les impôts sont directement prélevés à la source en Australie.

Techniques pour travailler en Australie dans la restauration

Les français jouissent d’une bonne réputation dans la restauration en Australie. Vous pourrez travailler, avec ou sans qualification, en cuisine. Vous devrez passer un certificat pour travailler en salle et servir de l’alcool. Des emplois qui sont généralement bien rémunérés (entre 19 à 25$ de l’heure + pourboires).

Il est nécessaire de posséder un certificat pour tous les emplois où l’on sert de l’alcool. Ce RSA Certificat s’obtient après une journée de formation payante portant sur la législation australienne (environ 100$, valable uniquement dans l’état où il a été délivré). Vous pouvez le passer avec les centres d’informations présent dans la plupart des auberges de jeunesse par exemple.

Pour obtenir un travail en Australie dans la restauration, plusieurs options sont possibles. Vous pouvez bien évidemment chercher du travail directement sur place et vous pouvez aussi rechercher un poste avant de partir.

Je vous invite donc fortement à vous présenter directement dans les établissements de restauration (en dehors des horaires de service bien entendu !) et avec un CV australien. Il y a aussi le site Gumtree, qui est l’équivalent de Leboncoin.fr en France (également utile pour acheter une voiture ou un van par exemple).

Des compétences recherchées

La politique d’immigration australienne est basée sur le choix de candidats qui pourront couvrir les manques de ressources en main d’œuvre dans divers métiers.

Le Département de l’immigration publie et révise donc chaque année une liste regroupant les secteurs et emplois où la main d’œuvre manque en Australie. Cette liste est connue sous le nom de SOL – Skilled Occupation List.

Si votre spécialité professionnelle est indiquée dans cette liste, cela signifie qu’elle est en demande sur le marché de l’emploi australien. Vous augmentez donc vos chances de trouver un travail. Vous pouvez même obtenir un Skilled Migrant Visa, donnant accès à la résidence permanente en Australie.

Travailler en Australie ? Oui mais pas n’importe où !

Il est important de bien choisir la zone géographique dans laquelle on souhaite s’implanter, que ce soit pour quelques temps ou pour une durée plus longue, car l’Australie est un pays très vaste. Une superficie 7 fois supérieure à celle de la France et les distances peuvent paraître anodines sur les cartes mais la réalité est tout autre…

À savoir aussi que 70% de la population vit près des grandes agglomérations. C’est donc dans ces villes que se concentrent l’essentiel des activités économiques, marchandes, industrielles et de service.

travailler en australie_carte australie
L’Australie vue du ciel

Vous trouverez également beaucoup d’informations complémentaires sur ce site dédié à l’Australie qui m’a beaucoup aidé à préparer mon départ.

Je suis ensuite parti aux États-Unis.

Les licences dans le secteur de la restauration

Les licences dans le secteur de la restauration

Lorsque vous ouvrez un restaurant, vous devez être titulaire d’une licence de restaurant et/ou débit de boissons pour vendre de l’alcool.

Petite précision pour les restaurants qui ne vendent pas d’alcool. Aucune démarche n’est nécessaire depuis 2011. Ils peuvent donc délivrer les boissons du groupe 1. À savoir : des eaux de boisson, des limonades et des sirops, des boissons chaudes, ainsi que les jus de fruits ou de légumes non fermentés.

Le fonctionnement est tout autre concernant la vente de boissons alcoolisées. Une licence est indispensable. Il en existe deux grandes catégories :

  • Restaurant
  • Débit de boissons

1. Licence de restaurant

Si vous souhaitez vendre de l’alcool uniquement pendant les repas, vous devez être en possession d’une licence restaurant. Vous avez alors à nouveau deux possibilités :

  • La petite licence restaurant : elle vous permet de vendre des boissons alcoolisées des groupes 2 et 3. À savoir : des boissons fermentées non distillées (vin, bière, cidre, poiré, hydromel) et vins doux naturels, crème de cassis, jus de fruits ou de légumes comportant jusqu’à 3° d’alcool, vin de liqueurs, apéritif à base de vin, liqueur de fruits comprenant moins de 18° d’alcool.
  • La licence restaurant : elle vous permet de vendre des boissons alcoolisées des groupes 4 et 5. À savoir : rhums, tafias, alcools distillés et toutes autres boissons alcooliques.

2. Licence de débit de boissons

Si vous souhaitez vendre de l’alcool en dehors des repas, il existe deux licences de débit de boissons :

  • La licence 3 permet aux restaurateurs de vendre des boissons des groupes 2 et 3.
  • La licence 4 permet aux restaurateurs de vendre des boissons des groupes 4 et 5.

3. Comment obtenir ces licences ?

Quelle que soit la licence que vous souhaitez obtenir (restaurant ou débit de boissons), les démarches sont les mêmes. Il y a précisément deux étapes :

  • obtenir au préalable un permis d’exploitation
  • effectuer une déclaration préalable en mairie au moins 15 jours avant l’ouverture du restaurant.

A – Obtenir au préalable un permis d’exploitation

Vous devez participer à une formation spécifique organisée par un organisme de formation agréé. Elle porte entre autre sur la prévention et la lutte contre l’alcoolisme, la protection de mineurs et la répression de l’ivresse publique… Ce permis est valable 10 ans.

B – Effectuer une déclaration préalable en mairie

Vous effectuez votre déclaration auprès de la mairie au moins 15 jours avant l’ouverture de votre restaurant. Vous recevrez ensuite un récépissé vous permettant de justifier la possession de la licence. Attention, il ne s’agit pas pour autant d’une garantie du droit d’exploiter un débit, ni de la validité du titre de propriétaire ou de gérant.

Conclusion

Vous savez maintenant tout ce que vous devez faire pour proposer des boissons dans votre restaurant :

  • Rien si vous ne vendez pas d’alcool
  • Détenir la petite licence restaurant si vous vendez des alcools avec moins de 18° uniquement à l’occasion des repas
  • Posséder la licence restaurant si vous vendez des alcools forts uniquement à l’occasion des repas
  • Détenir la licence 3 si vous vendez des alcools avec moins de 18° en dehors des repas
  • Acheter ou louer la licence 4 si vous vendez des alcools forts en dehors des repas

Schématiquement, ça donne donc ceci :

licences restauration

Pour en savoir plus sur la licence d’un restaurant et débit de boissons, je vous invite à vous rendre sur le site officiel de l’administration française.

Quel type de restaurant pour mon activité ?

Quel type de restaurant pour mon activité ?

Selon Emergence Concepts, un Français sur trois a déjà pensé à ouvrir son restaurant. Pour autant, ouvrir un restaurant ne s’improvise pas. Que vous souhaitiez ouvrir un restaurant à Paris ou à Limoges, le choix du type de restaurant est primordial pour la réussite de votre activité. En effet, il vous permettra de vous différencier de la concurrence. Afin de faire le bon choix, commençons donc par planter le décor.

Voici une définition simple que l’on peut trouver dans le Larousse : un restaurant est un établissement commercial où l’on sert des repas contre paiement. Rentrons maintenant un peu plus en profondeur sur ce marché.

1. Les principaux types de restaurant

Le marché de la restauration comprend deux principaux types de restauration :

  • La restauration collective : elle est souvent assimilée aux cantines et cafétéria d’entreprises, des écoles ou encore des institutions publiques comme les hôpitaux. Ce sont des restaurants à caractère social qui n’ont pas vocation à gagner de l’argent.
  • La restauration commerciale : ce sont les établissements de restauration qui ont pour vocation de gagner de l’argent avec les prestations fournies à leurs clients.

C’est la restauration commerciale qui nous intéresse plus particulièrement au moment d’ouvrir son restaurant.

2. Les différents types de restauration commerciale

La restauration commerciale comporte elle aussi plusieurs types :

  • Restauration traditionnelle va de la brasserie classique au restaurant gastronomique
  • Restauration à thème : ethnique ou spécifique à une région, autour d’un produit ou d’un concept
  • Restauration Traiteur : un boucher/charcutier, un poissonnier ou un artisan des métiers de bouche
  • Restauration rapide : tout ce qui se mange sur le pouce, les burgers, les hot-dog, les sandwichs, les salades … Ils sont le plus souvent servis dans des emballages. On y trouve notamment les fast-food et les boulangeries.

Il existe encore bien d’autres alternatives si on compte les différentes façons de s’alimenter hors du domicile (les supermarchés, la restauration dans les transports…).

Retrouver ici un schéma qui récapitule ce que nous venons de voir.

Type de restaurant

3. Comment choisir le type de restaurant pour mon activité ?

A – En fonction du marché

Le choix de votre restaurant doit se faire en accord avec votre étude de marché. En effet, vous devez répondre au mieux aux besoins et aux envies de votre future clientèle.

Prenons l’exemple du cas où vous avez déterminé la zone dans laquelle implanter votre restaurant. Regardez les autres restaurants présents dans cette zone. Ce qu’ils proposent et également ce qu’ils ne proposent pas. Et renseignez-vous auprès de vos clients potentiels sur ce dont ils ont besoin et le type de restaurant dont ils aimeraient bénéficier.

Si au contraire, vous savez déjà quel type de restaurant vous souhaitez ouvrir, tenez le raisonnement inverse. Identifiez une zone où votre restaurant pourrait tirer son épingle du jeu. Et comme dans le cas précédent, allez sonder vos futurs clients par rapport à ce que vous souhaitez mettre en place.

Bref, avant d’ouvrir votre restaurant, soyez à l’écoute du marché.

B – En fonction de vous

Vous devez également prendre en considération vos envies et choisir un type de restaurant en accord avec vos compétences et votre expérience. En effet, vous allez passer beaucoup de temps dans votre restaurant. Il vaut donc mieux être passionné par ce que vous faites.

Par ailleurs, tenez compte de vos compétences. Il est difficile (mais pas impossible) d’ouvrir un restaurant taïwanais si vous n’avez jamais mis les pieds dans un restaurant taïwanais au cours de votre vie et si vous ne connaissais pas la culture.

Choisissez donc un type de restaurant qui :

  • répond aux besoins de votre future clientèle
  • correspond à vos envie, à vos compétences et à votre expérience

Une fois votre type de restaurant choisi, vous pourrez vous diversifier en proposant plusieurs modes de restauration : sur place, à emporter et la livraison.

Quand vous aurez ouvert votre restaurant, n’oubliez pas d’y installer Easy Lunch 😉

Vous devrez également vous entourer des meilleurs profils pour constituer votre équipe.

Un parcours international dans la restauration

Un parcours international dans la restauration

Bienvenue ! Je suis Théo Del Piano, co-fondateur d’Easy Lunch et je vous souhaite la bienvenue sur ce blog dédié à la restauration.

J’ai décidé de créer ce blog afin d’éclairer les personnes qui souhaitent s’informer ou découvrir le secteur de la restauration. Vous y trouverez des informations utiles dans le cas de création ou de reprise de restaurant et également les nouvelles tendances de ce secteur.

Je souhaite mettre mon expérience à disposition des autres car j’ai pu au cours de mon parcours, découvrir différents modes de fonctionnement et de management dans la restauration selon les pays. Je m’efforcerai de vous livrer les meilleurs conseils et analyses possibles. Pour cela, je me baserai évidemment sur mes expériences personnelles tout en restant objectif dans mes propos.

Pour que vous compreniez un peu mieux et que vous appreniez à me connaitre, je vais me présenter dans ce premier article.

Qui suis-je et pourquoi la restauration ?

Je suis originaire du Sud-Ouest où j’ai réalisé une bonne partie de mes études. Par la suite, j’ai eu la chance de travailler dans plusieurs établissements de restauration. Du restaurant saisonnier de Maubuisson à la brasserie haut de gamme de Melbourne ou Miami en passant par la restauration rapide et des boulangeries à Orlando et Londres, toutes ces expériences m’ont appris sur le secteur de la restauration. Mes différents voyages en Europe, aux États-Unis et en Australie m’ont permis de découvrir une partie du monde et de nouvelles cultures.

Tombé dans la restauration à 17 ans

J’attends les résultats du bac lorsque je commence ma première saison dans la restauration sur une petite station balnéaire du Sud-Ouest. Je ne suis pas du métier mais j’apprends vite. Après 10 jours en cuisine, j’intègre l’équipe de salle en tant que commis de salle.

L’occasion pour moi d’apprendre à porter les assiettes, à manier le plateau, de prendre quelques commandes et donner un coup de main derrière le bar ou pour les desserts. Je ferais également la connaissance de ce que les experts du milieu appellent le rush.

Les résultats du Bac sont positifs, je poursuis mon cursus avec un DUT Techniques de Commercialisation à l’Université de Bordeaux.

Premier poste en cuisine à Melbourne en Australie

Une fois mon diplôme dans le commerce en poche, je décide de partir travailler dans la restauration en Australie. Un projet de voyage bien préparé et organisé, mon objectif est clair : apprendre l’anglais pour élargir ma palette et tenter d’ouvrir de nouvelles portes. Je ne possède pas un très bon niveau en anglais et cela va conditionner ma future recherche d’emploi.

J’ai très vite compris que la maîtrise de cette langue me permettrait de trouver du travail absolument n’importe où. J’ai alors travaillé chaque soir pour améliorer mon vocabulaire et ma grammaire en anglais afin de pouvoir communiquer et échanger le plus rapidement possible avec les gens qui m’entouraient.

Après quelques jours de recherche, je commence en tant que plongeur dans un restaurant. Un poste difficile et souvent sous-évalué mais pourtant essentiel à tout établissement de restauration. Cela m’a permis de comprendre beaucoup sur l’organisation d’un restaurant, en cuisine et sur la communication intra-équipe.

Peu de temps après, le chef de cuisine me propose une place de chef de partie. Je n’ai alors ni formation ni expérience en cuisine mais ça m’intéresse. J’accepte. Je suis formé sur le tas par mes collègues : un Anglais, un Australien, un Hollandais et un Français. Je m’occupe de la partie plats cuisinés, entrée chaude et accompagnements. Cette expérience durera un peu moins d’un an à cause de l’expiration de mon Visa de Travail. Mon niveau d’anglais s’est nettement amélioré.

Durant cette période, j’ai également cumulé un deuxième emploi dans un hôtel en tant que Housekeeping Supervisor (superviseur du nettoyage des étages).

Retour en France, je décide de continuer dans cette voie

À mon retour en France, je commence à travailler dans une brasserie française. Une occasion se présente derrière le bar. J’ai alors connu le service en salle, la plonge et la cuisine, apprendre à être derrière le bar s’annonce être la suite logique.

Je suis une nouvelle fois formé sur le tas en tant que Barman. Je gère le service au bar pendant et entre les services, je sers de l’alcool et apprends à faire les cocktails. Je m’occupe également des stocks et des commandes de boissons et alcools.

Avant cette prise de poste, j’avais postulé pour partir travailler aux États-Unis dans un établissement du groupe Bocuse. Les entretiens se sont déroulés à Lyon, je fais parti des sélectionnés pour partir en Floride.

Team Leader dans une boulangerie aux États-Unis

Je pars alors pour travailler dans la restauration aux États-Unis. Je vais travailler dans la boulangerie de Paul Bocuse à Walt Disney World à Orlando. La boulangerie se trouve dans le parc Epcot Center, le 7ème parc le plus visité au monde, et elle est ouverte 7/7 jours de 9h à 21h.

Après quelques semaines en tant que vendeur en boulangerie, je suis régulièrement sollicité pour former les nouveaux arrivants. La manager me choisit pour être le Team Leader (chef d’équipe) du pavillon français pendant le International Food and Wine Festival.

C’est un événement annuel très important et la mission est de “driver” un point de vente extérieur avec une équipe de 20 personnes. Nous terminerons en tête du concours intra-pays en étant leader consécutivement pendant les 8 semaines du festival.

Après quoi, mon équipe et moi-même retournons travailler à la boulangerie où je continuerais d’être Team Leader. Je m’occupe alors d’ouvrir et de fermer la boulangerie, des rotations de postes et des pauses. Je suis également le lien entre le point de vente et le laboratoire de production.

L’effectif total de la boulangerie avoisine les 70 employés au total mais compte environ 50-60 employés par jour.

Paul Bocuse restauration
Paul Bocuse

Manager dans une boulangerie / restaurant en Angleterre

À mon retour en Europe, je choisis d’intégrer un projet ambitieux. Je rejoins le groupe Maison Kayser. Le boulanger français Éric Kayser ouvre sa première boutique boulangerie/restaurant à Londres. Je démarre en tant que Superviseur du Restaurant.

Je passe rapidement Assistant Manager General. Je suis alors en charge du recrutement, de la formation, des emplois du temps, des commandes, … Une expérience très formatrice qui m’a permis de vivre de près tous les aspects du quotidien d’un restaurant et d’une boulangerie.

Boulangerie Kayser - theo del piano - restauration
Boulangerie Kayser à Londres

Voilà un aperçu de quelques-unes mes expériences qui vous permettront d’en savoir plus sur moi et sur mon parcours.

Aujourd’hui, j’ai décidé de me pencher sur les problématiques que rencontrent les restaurateurs et c’est pourquoi j’ai fondé, en 2018 avec mon frère Arthur, la société Easy Lunch 🙂

Si vous souhaitez que je traite d’une thématique en particulier ou si vous avez des questions, contactez-moi !

Théo Del Piano