Les sites d’avis tels que TripAdvisor cristallisent de plus en plus de tensions et de crispations de la part des restaurateurs. A tel point que certains ripostent régulièrement par des vidéos sur Youtube. Pourtant, tout n’est pas à jeter dans les avis en ligne. Faisons le point dans cet article.
Oui, les sites d’avis sont bons pour votre restaurant !
Dans
ce débat passionné sur les sites d’avis en ligne, commençons par replacer les
choses dans leur contexte. Car avant d’être un défouloir pour certains internautes,
les sites d’avis s’inscrivent dans une démarche positive.
Les restaurateurs comme les clients y trouvent un vrai intérêt. Côté restaurateurs, les Yelp et autre TripAdvisor notamment sont de précieux relais d’images. Ils donnent au restaurant une visibilité sans précédent qui dépasse leur ville, leur quartier et les frontières. Ils participent à leur bonne réputation, leur donnent la possibilité de se démarquer face à la concurrence.
Aussi, les avis amènent une preuve sociale, ils permettent de faire partager à d’autres clients potentiels une expérience satisfaisante, de leur mettre l’eau à la bouche avec des photos de plats publiés en ligne. A vrai dire, tout y est décrit : l’accueil, le service, la rapidité, la qualité des plats, les prix, l’emplacement… C’est un puissant support de communication.
Et puis, ces sites sont tout simplement devenus incontournables car la plupart des clients potentiels d’un restaurant – pour ne pas dire la totalité – les consultent d’abord avant de réserver une table. Il s’agit en somme du bouche à oreille 2.0. Impossible de faire sans.
Mais les site d’avis sont aussi une tannée !
Le
problème avec les sites d’avis en ligne est qu’ils sont à la fois victimes de
leur succès et victimes du phénomène des émissions culinaires qui pullulent
depuis quelques temps à la TV.
Car
les internautes qui y commentent leur retour d’expérience ont souvent tendance
à jouer le rôle d’un critique culinaire ou d’un chef de cuisine qu’ils ne sont
pas. Gros hic : leurs commentaires massacrants sont souvent à côté de la
plaque, faute de connaissances techniques sur la cuisine. Sauf que cela peut
sérieusement mettre à mal l’activité d’un restaurant au point de le mettre en
grandes difficultés.
Le
problème n’est pas la critique en soi, mais qui porte cette critique. Le client
mécontent a-t-il vraiment l’expertise nécessaire pour jouer le rôle d’un
critique du guide Michelin ? Est-il un chef étoilé ? La réponse est bien sûr
non.
Et puis à l’instar de Twitter où l’insulte gratuite est reine, les sites d’avis en ligne sont trop fréquemment le lieu où certains idiots – pour ne pas dire crétins – viennent se défouler en toute impunité en crachant sur tout ce qui bouge.
Les sites d’avis en ligne font désormais partie de la vie d’un restaurant, que le propriétaire le veuille ou non. La question n’est pas donc de savoir s’ils sont fondamentalement bons ou mauvais mais comment faire avec.
Les pratiques alimentaires végétariennes et végan sont de plus en plus appréciées. Et pour cause, leurs bienfaits sur notre santé sont aujourd’hui reconnus. Dans cette aventure alimentaire, les nouveaux arrivants ne savent pas toujours où se trouvent les bons produits. Où faire ses courses ?
Quels produits choisir ? Que peut-on cuisiner qui soit à la fois sain et gourmand ? Quels restaurants proposent des repas végétariens ou végan ? Vous trouverez de nombreux lieux et services à votre disposition pour satisfaire ces demandes.
Faisons un petit tour d’horizon des
différentes alternatives.
Les box repas, gourmandes et pratiques
Vous voulez manger végétarien ou végan, mais vous n’avez pas envie de chercher chaque jour une nouvelle recette ? Ou de passer du temps à établir votre liste de courses et encore plus de temps à les faire ? Des sites web tels que Rutabago proposent un service de livraison de box repas bio (produits de qualité éco-responsables) à domicile.
Le concept est simple : vous recevez
votre box repas bio contenant un livre de recettes et tous les ingrédients en
quantité nécessaire (afin d’éviter le gaspillage) pour les réaliser. Ces
recettes sont faciles à concocter et étudiées pour être à la fois équilibrées
et gourmandes. Vous n’avez plus qu’à suivre les indications et à déguster votre
repas. Manger sainement sans passer du temps à faire ses courses ou derrière
les fourneaux, c’est possible !
Où faire ses courses ? Trouver les bons produits
Les marchés
Si vous aimez sillonner les marchés,
c’est l’occasion d’aller remplir votre panier ! Baladez-vous parmi les étals où
sont exposés fruits et légumes, vous y trouverez certainement votre bonheur.
Deux options s’offrent à vous : trouver un marché 100 % bio près de chez vous
ou bien dénicher les produits bio dans un marché classique.
Les Biocoop et autres magasins bio
La Biocoop est certainement un des
lieux les plus fréquentés par les végétariens et les vegan. Elle permet de
manger des légumes bio et de privilégier les circuits courts qui ajoutent de la
valeur aux produits (Valeur nutritive et écologique : les produits sont frais
et locaux).
Vous y trouverez beaucoup
d’alternatives végétarienne et vegan aux produits classiques (beurre, gâteaux,
fromages, saucisses et steaks végétaux, plats préparés, vins, etc.). D’autres
magasins spécialisés vendent également ces produits (la Vie Claire, Biomonde,
Naturalia, magasins indépendants, magasins spécialisés en vrac, etc.).
Les AMAP : Association pour le Maintien de l’Agriculture Paysanne
Les AMAP sont des associations de
producteurs qui vendent leurs produits frais, bio et locaux. Les aliments
passent directement du producteur au consommateur, le plus souvent sous forme
de panier bio.
Les paniers peuvent contenir des
fruits et légumes de saisons ou du fromage et existent en différentes tailles
selon la quantité désirée. Pour trouver l’AMAP la plus proche de chez vous,
rendez-vous sur le site http://www.reseau-amap.org/.
Les restaurants & snacks bio
Depuis quelques années, les snacks
et les restaurants végan et végétariens bio fleurissent. Les grandes villes
regorgent de bonnes adresses où se régaler d’un repas local et bio,
caractéristiques associées à ces régimes. Les autres restaurants affichent le
plus souvent au moins un plat végétarien ou végan sur leur menu.
En dernier recours, on peut toujours
s’arranger avec le chef pour avoir un plat qui nous convient. En bref, il est
rare de ne pas pouvoir manger au moins végétarien dans un restaurant
aujourd’hui.
Voici quelques applications qui vous
permettront de repérer les lieux adaptés autour de vous (restaurants,
maraîchers, magasins bio, etc.) : Happy Cow, VegOresto, Green Kitchen…
Manger végétarien ou vegan, c’est de
plus en plus facile !
Il y a fort à parier que certains commerçants ne savent toujours pas comment choisir un terminal de point de vente performant. C’est pourtant simple ! La caisse enregistreuse est un outil essentiel que vous devez absolument avoir lorsque vous vous engagez dans une activité commerciale. C’est d’autant plus important qu’elle constitue le centre de toutes les opérations de gestion (vente, statistique, etc.) de votre profession. Pour bien choisir une caisse d’enregistrement adaptée à votre activité de fastfood, voici quatre critères de choix à considérer.
La marque et fonctionnalité des terminaux points de vente
Lorsque vous vous
engagez dans l’achat d’une caisse enregistreuse, le choix du fabricant est déterminant.
Il s’agit en fait d’un critère de qualité de l’outil, car certaines marques
sortent du lot. Six principaux fournisseurs dominent le marché actuel, mais la
marque IBM par exemple se positionne comme leader du secteur. Elle est présente
dans les magasins de différents distributeurs à plus de 60 %. Selon vos
besoins, un fabricant sera à préférer plutôt qu’un autre.
Au-delà de la fonction
de caisse, les terminaux points de vente (TPV) administrent le processus
d’achat du client. Ce sont des appareils qui peuvent également renseigner sur
la disponibilité des produits en magasin. De même, ils donnent des indications
sur un client détenteur d’une carte de fidélité.
Le type de caisse d’enregistrement
Il est important, pour
des raisons de performance, de bien choisir la caisse enregistreuse adaptée à
votre fastfood. De ce fait, vous trouverez sur le marché, trois types de
terminal point de vente. En effet, il s’agit des modèles numériques,
alphanumériques et les modèles plus évolués ou tactiles. À chaque type sa
spécificité. Ce qui veut dire que le choix se fera en fonction des besoins.
La caisse numérique : c’est le modèle le plus traditionnel. C’est une calculatrice évoluée qui vous permet de réaliser plusieurs tâches. Vous aurez la possibilité de facturer et de faire des rapports et impressions.
La caisse tactile : c’est le modèle le plus en vogue. Elle possède un écran tactile. Elle permet aussi de réaliser toutes les fonctions de la caisse numérique et alphanumérique. Doté d’un logiciel de gestion d’une technologie remarquable, c’est l’outil idéal pour des utilisateurs exigeants. C’est une caisse très appréciée dans la restauration rapide.
La caisse alphanumérique : il s’agit de la version améliorée de la caisse numérique. Elle permet de facturer, de classifier les familles de produits et de réaliser les rapports d’activité de gestion.
Le type de machine
enregistreuse pour votre activité de restauration rapide est primordial. Ainsi,
une machine performante et multifonction sera à privilégier qu’une autre qui
limitera vos actions. Plus votre caisse est performante, mieux sera votre gain
de productivité.
Le logiciel de caisse
embarqué
Pour booster votre
fastfood en efficacité et augmenter votre chiffre d’affaires, misez sur le bon
logiciel. Les machines modernes ou tactiles sont dotées des logiciels de
gestions de nature différente. Vous devez donc choisir le meilleur logiciel
qu’il soit afin de bien gérer votre fastfood.
Optez pour une machine
avec un logiciel simple, intuitif, évolutif et efficace. Vous avez par exemple
le logiciel Rover Cash qui remplit toutes ces exigences avec des
fonctionnalités bien plus intéressantes. Vous pouvez également télécharger
gratuitement ou acheter en ligne un logiciel (Hiboutik, Loyverse, etc.) dont
les propriétés correspondent aux besoins suivants :
Gestion des commandes et livraisons
Gestion des ventes, des paiements et des stocks
Scan et édition des tickets
Gestion des prestations, clients, fournisseurs et produits
Gestion du personnel
Faites le choix d’un
terminal qui présente des abonnements souples et une intégration facile des
nouvelles technologies. Puisque les besoins des clients n’ont de cesse
d’évoluer, misez sur un logiciel répondant à ces enjeux.
Le confort d’usage
Le confort d’usage doit
être pris en compte, car il s’agit d’un outil dont on se sert au quotidien.
Prenez des caisses faciles à manipuler. De plus, l’ergonomie de l’appareil doit
être intuitive avec des menus bien distincts et un design épuré. Votre caisse
doit remplir toutes les conditions d’une utilisation facile. Une manipulation
sans prise de tête et une rapidité dans les opérations de gestion et/ou des
opérations de facturation. Ceci permettra de minimiser les pertes de temps.
Ces trois critères de
choix vous permettront d’avoir une caisse enregistreuse, adaptée à votre
activité. Une caisse tactile, performante et aux fonctionnalités multiples est
gage d’une gestion réussie de votre fastfood. Ceci facilitera évidemment toutes
vos opérations de management, de stock et du personnel.
Des tendances culinaires se dessinent pour 2020 car les attentes et les goûts des consommateurs évoluent. Voici celles à retenir pour votre restaurant.
Tendances culinaires 2020 : les veggies de retour en force !
Alors
qu’ils étaient très présents dans les années 90, les menus végétariens
reviennent en force pour 2020. Les plats orientés végans et végétaliens seront
également très appréciés. Exit en l’occurrence tout produit issu de
l’exploitation animale tels que les œufs, le lait et bien entendu la viande.
Les restaurateurs ont ainsi tout à gagner à proposer des plats voire des menus
100% végétal pour satisfaire leurs
clients.
Toujours plus sein et gourmand
Le
healthy est une des tendances
culinaires fortes pour l’année à venir, les clients cherchant plus que jamais à
allier alimentation et santé. Ils sont ainsi en recherche de plats équilibrés,
peu transformés, faisant la part belle à des produits vertueux : légumes,
graines, fruits, poissons et viandes maigres seront à l’honneur. Pour autant,
s’ils veulent préserver leur santé, les clients ne feront pas l’impasse sur le
goût, la gourmandise et le plaisir de manger.
Transparence et traçabilité
Les
circuits-courts, la production locale et les aliments issus d’un des nombreux
terroirs de la France seront plébiscités pour 2020. Les consommateurs sont en
effet en recherche d’authenticité, de transparence dans la chaîne d’approvisionnement
des restaurants pour allier saveur, soutient à l’économie locale et produits de
qualité.
Une démarche éco-responsable
Soucieux de limiter leur impact sur l’environnement et sur la planète, les clients de 2020 apporteront leur confiance aux restaurateurs qui mettent en place des bonnes pratiques dans leur établissements. Les doggy-bags, l’arrêt des pailles en plastique, la lutte contre le gaspillage alimentaire avec le don à des associations notamment sont autant de dispositions qu’auront intérêt de prendre les professionnels de la restauration afin de coller avec les attentes de leur clientèle.
Vivre une expérience forte
Les millennials qui représentent déjà 30% de la population française sont les clients d’aujourd’hui et à plus forte raison de demain. Pour ces jeunes âgés de 18 à 35 ans, vivre une expérience est une attente des plus fortes pour 75% d’entre eux selon une étude du cabinet Harris. Les restaurateurs devront ainsi s’employer à ce que cette précieuse clientèle vivent une expérience enrichissante dans leur établissement. Et cela passera par de nombreux aspects : l’accueil, le service, l’ambiance, la décoration du restaurant et bien entendu le contenu de l’assiette soigneusement dressée. Sans oublier l’expérience du paiement proposée par Easy Lunch 😉
Cette sélection des 8 restaurants les plus atypiques à travers le monde a de quoi laisser songeur tant ils cassent les codes de la restauration.
La médaille des restaurants atypiques : The Rock
Portant à merveille son nom, The Rock est un restaurant perché en haut d’un rocher. Il est donc accessible uniquement par bateau car il est en plein Océan indien, dans l’île fantastique qu’est Zanzibar.
Dîner dans une grotte en Corse
Voilà une promesse alléchante pour un endroit des plus insolites puisque le restaurant du Domaine de Murtoli est niché dans une grotte. Il se trouve au sud de l’Île de Beauté entre Bonifacio et Propriano et on y sert une cuisine traditionnelle corse raffinée et généreuse.
La folie des grandeurs au Felicita
C’est à Paris dans le 13e arrondissement que se trouve le Felicita, qui est le plus grand restaurant d’Europe. Les chiffres ont de quoi donner le tournis : 1 000 couverts installés, 500 en terrasse, 5 cuisines et un barbecue de 6 mètres de longueur.
La folie des hauteurs à Dubaï
Le restaurant Atmosphère peut s’enorgueillir à juste titre d’être le restaurant le plus haut du monde. Il est installé au 122e étage de la tour la plus grande de la planète, la Burj Khalifa de Dubaï (828 m). Les prix sont également bien élevés : près de 500€ le menu gastronomique.
Un resto-jet-privé
Parmi nos coups de cœur des restaurants insolites, cet ancien avion militaire transformé en restaurant haut de gamme vaut le détour. Il se trouve sur la côte Pacifique du Costa Rica et offre en prime un emplacement idéal pour admirer la forêt alentour.
10 000 lieues sous les mers
Le
Under est un restaurant qui porte bien son nom puisqu’il est littéralement sous
l’eau. Plusieurs concepts similaires existent dans différents pays mais celui
situé près du village de Båly en Norvège
est le tout premier d’Europe.
Le restaurant roulant
Le Bustronome est un bus impérial anglais transformé en restaurant chic qui sillonne les centres-villes de Paris et de Londres. Une formule idéale pour déjeuner ou dîner en admirant les monuments de ces deux capitales phares d’Europe.
Un resto pour un duo
Le
restaurant “Solo per due” porte terriblement bien son nom puisqu’il
est si petit qu’il ne peut accueillir que deux convives. Ce plus petit
restaurant du monde se trouve à Vacone, dans un village pittoresque de la
région de Rome. Un resto à la déco kitch mais qui vaut le détour.
Le terminal de paiement électronique – TPE – est un dispositif essentiel pour mener à bien son activité de restaurateur, les paiements par carte bancaire et titres restaurants dématérialisés devenant de plus en plus la règle. Alors comment faire pour choisir son TPE ? Quelles sont les solutions disponibles ?
Terminal de paiement électronique fixe ou mobile ?
Pour
faire votre choix quant au TPE qui correspond le mieux à vos besoins, commencez
par vous pencher sur les deux grandes familles avec d’un côté le terminal de
paiement électronique fixe et de l’autre le mobile.
Le
TPE fixe s’installe à côté de votre caisse enregistreuse, et suppose donc que
vos clients viennent payer directement au comptoir. Il peut s’avérer dans bien
des cas moins coûteux mais aussi plus pratique que le TPE mobile car vous évitez
d’éventuelles problèmes de connexion Bluetooth et de batteries.
Le terminal de paiement électronique mobile est en revanche idéal pour faciliter la vie de vos clients car ils peuvent régler leur addition directement depuis leur table, sans avoir à se déplacer.
Dans
un cas comme dans l’autre, les grands noms du secteur vous proposeront deux
solutions de financement, à savoir l’achat ou la location. La location reste à
ce jour l’option la plus choisie en raison de ses avantages : faible coût
mensuel, maintenance assurée par le prestataire, matériel dernier cri…
A qui s’adresser ?
Le marché des TPE en France est dominé par plusieurs sociétés de poids. Si vous optez pour un terminal de paiement électronique fixe, vous avez tout intérêt dans ce cas à vous adresser à des acteurs incontournables comme JDC et Ingenico. Mais votre conseiller bancaire est également à même de vous équiper, alors n’hésitez pas à aller au plus offrant !
Pour les TPE mobiles, des marques comme SumUp et iZettle sont vraiment compétitives. Leur matériel est doté des dernières fonctionnalités, le coût à l’achat est attractif et leurs offres sont sans engagement de votre part. A la clé, beaucoup de simplicité pour vous !
Aussi
sachez que les TPE fixes ou mobiles sont des solutions idéales pour que vos
clients puissent régler avec leur carte Titre Restaurant. Cela ne demande
qu’une simple petite manipulation de votre part avec votre numéro Conecs.
Mais il existe une manière encore plus rapide et efficace pour que vos clients règlent leur addition, et il s’agit de la solution Easy Lunch. Aucun TPE n’est alors nécessaire car vos clients utilisent leur propre smartphone pour payer en quelques secondes à peine.
TripAdvisor, Yelp, La Fourchette, Google… les sites et plateformes web sur lesquels il est possible de laisser un avis sur un restaurant ont explosé depuis plusieurs années. D’ailleurs, 80% des Français déclarent y attacher de l’importance au moment de faire leur choix. Mais les restaurateurs les voient souvent d’un mauvais œil car un avis négatif peut a priori nuire à l’activité. Pourtant, il s’agit en réalité d’une belle opportunité. Comment faire d’un avis négatif une aubaine pour votre restaurant ?
Les avis négatifs aident à rectifier le tir
Dans
la mesure où les avis négatifs sont constructifs et en rien injurieux, leur
intérêt est de pouvoir mener des actions correctives dans votre restaurant. Car
il est bien entendu impossible d’être parfait à tous les niveaux, alors autant
vous servir du point de vue de clients – même les mécontents – pour vous
améliorer !
Face
à l’explosion des avis en ligne, de plus en plus de restaurateurs ne prennent
pas la peine de répondre. Il s’agit alors d’une très belle opportunité de vous
démarquer de votre concurrence ! Car un restaurateur qui assume les
commentaires désagréables sur son établissement et qui répond à chacun d’entre
eux sera vu comme un bon professionnel.
C’est
l’occasion également de vous démarquer en répondant de façon originale, en
magnant habillement humour, politesse et courtoisie. Car en plus de vous
différencier des autres restaurateurs, vous aurez la possibilité d’échanger
avec vos clients de façon personnalisée et de les inviter à revenir pour
attester des changements positifs que vous avez mis en place.
Inspirer confiance à vos clients
La
notion de confiance est primordiale entre un professionnel de la restauration
et ses clients. Prendre la peine de répondre aux avis en ligne génère justement
de la confiance car les clients se rendent alors compte que leur point de vue a
été pris en compte, que vous les entendez et les prenez au sérieux.
Et
puis sachez enfin qu’un restaurant qui a uniquement des avis positifs semble
étrange aux yeux des clients qui peuvent imaginer qu’il s’agit de faux avis.
Aussi, un restaurant qui réunit aussi bien des avis positifs que négatifs inspire
davantage confiance.
Ouvrir un restaurant n’est pas choses aisée. Il s’agit d’une entreprise comme une autre. Découvrez les 7 étapes qui vous permettront d’ouvrir un restaurant en mettant toutes les chances de votre côté. Avant, pendant et après l’ouverture.
#1 Définir clairement son concept et sa différenciation
Avant d’entamer les démarches administratives, commencez par une phase de réflexion et répondez à quelques questions.
Quelle cuisine souhaitez-vous proposer ?
À quelle clientèle souhaitez-vous vous adresser ?
Qu’est-ce que propose la concurrence ?
Qu’est-ce que je peux proposer et que personne ne fait ? Ou que personne ne fait aussi bien que moi ?
Ces questions vous permettront déjà de filtrer parmi les différentes possibilités qui vous sont offertes. Les réponses que vous donnerez vous permettront de choisir plus facilement l’emplacement dont vous avez besoin.
#2 Choisir son emplacement de manière pertinente
En effet, l’emplacement est un concept clé en restauration. On a coutume de dire qu’il existe uniquement trois critères pour un restaurant : l’emplacement, l’emplacement et encore l’emplacement.
Sélectionnez-le en fonction de votre concept.
Vous pouvez également profiter d’une opportunité si un emplacement se libère. En effet, même si vous n’avez pas de projet, vous pourrez en préparer un en fonction de l’emplacement disponible.
Bref, il n’y a pas de vérité absolue concernant ces deux premières étapes. Vous pouvez suivre l’une avant l’autre sans aucun problème. Dans tous les cas, assurez-vous simplement de toujours faire correspondre votre projet avec l’emplacement !
Une fois que vous avez votre local, vous devez l’aménager en fonction de votre projet et de vos goûts. n’oubliez pas, ouvrir un restaurant demande une stratégie globale. Vous visez un certain type de clientèle, vous proposez un certain type de cuisine. Faites les donc correspondre avec votre intérieur.
Optimisez également les aménagements afin de faciliter la circulation de vos équipes pendant les services.
#5 Se mettre aux normes
Avant d’ouvrir votre restaurant, assurez-vous également d’être aux normes. Il s’agit ici de respecter les licences, les normes d’hygiène et de sécurité.
Vous devez également selon votre cas suivre une formation avant l’ouverture.
#6 Entourez-vous bien
Comme dans tous business, les personnes qui vous accompagnent sont fondamentales. Choisissez un bon expert-comptable pour tenir votre comptabilité. Et surtout soyez attentif sur votre recrutement. Déterminez à l’avance les profils dont vous avez besoin. Vous gagnerez du temps sur le processus de recrutement.
N’oubliez pas qu’il est plutôt difficile (et c’est un euphémisme) de recruter dans la restauration. Faites en sorte de vous tromper le moins possible. Vous gagnerez du temps sur la formation de vos employés et vous diminuerez le turnover.
#7 Utilisez des produits frais de qualité
Ce conseil peut paraître évident. Et pourtant, il n’est pas inutile de le rappeler. Les clients sont de plus en plus attentifs à la qualité des produits. Ils privilégient également les produits locaux et de saison. Si vous faites cela, vous vous distinguerez automatiquement de la concurrence.
#8 Communiquez fréquemment avec votre clientèle
Acquérir un client coûte 7 fois plus cher que de le fidéliser. Pour fidéliser, quoi de mieux que de communiquer ? Soyez présent sur les réseaux sociaux.
Vous pouvez créer un site internet pour votre restaurant. Ou tout simplement être visible sur des marketplaces.
#9 Équipez-vous bien !
Pour fournir, faites en sorte d’avoir les bons outils. N’oubliez jamais que la qualité a un prix. Et elle évite bien des déboires sur le long terme. Investissez dans du matériel de qualité pour augmenter votre productivité, mieux satisfaire vos clients et travailler en sérénité.
Votre matériel permettra également de mieux fidéliser votre personnel pour lequel il est préférable de travailler dans des conditions agréables. Choisissez bien votre logiciel de caisse et équipez-vous d’une solution de paiement autonome afin de ne pas vous soucier de l’encaissement en fin de service.
Pour aller plus loin
Nous n’avons pas traité la question du budget concernant l’ouverture d’un restaurant ni même les diplômes nécessaires. Ils font en effet l’objet d’articles à part entière.
Vous trouverez des précisions dans les articles suivants :
Le paiement est un domaine ô combien fascinant mais qui peut sembler quelque peu complexe au premier abord. Il est loin le temps où l’espèce était la seule façon de payer. Aujourd’hui, il existe un nombre important de moyens de paiement. Easy Lunch, en tant que moyen de paiement au restaurant, fait le point pour vous.
Les moyens de paiement traditionnels
Désignent tout ce qui permet d’acheter ou de payer quelque chose grâce à l’argent que l’on possède sur un compte ou en espèces.
Les principaux moyens de paiement existant sont :
l’espèce ;
le chèque ;
la carte bancaire ;
le virement bancaire ;
le prélèvement bancaire ;
En France, le plus utilisé est la carte bancaire. En effet, environ 50% des paiements sont effectués en carte bancaire dans le pays. Ce chiffre monte à 80% pour les paiements en e-commerce.
Le paiement en ligne
Il s’agit d’un échange d’argent réalisé à travers un système numérique. Il s’agit donc des transactions réalisées sur Internet ou via des réseaux de télécommunications, à partir d’un ordinateur, d’une tablette ou d’un smartphone.
Le paiement en ligne n’est donc pas un moyen de paiement à proprement parlé. En effet, pour un paiement en ligne, vous allez par exemple recourir à un paiement par carte bancaire, par virement bancaire ou par portefeuille en ligne.
Si vous souhaitez créer un site ecommerce, sachez qu’il existe de nombreuses possibilités pour accepter les paiements sur votre plateforme. Nous pouvons par exemple citer Stripe, le leader mondial ou Paygreen, son concurrent français.
Pour les personnes qui ont des doutes sur la sécurité des paiements, sachez que le taux de fraude sur les opérations par cartes émises en France représente une part plus que dérisoire sur l’ensemble des paiements en ligne constatés.
Ce taux était en effet de 0.063% en 2016. Il était passé à 0.054% en 2017.
De plus, la réglementation concernant les paiements en ligne a été renforcée avec la DSP2, mie en place en septembre 2019. Ce dispositif a pour objectif de renforcer la sécurité des paiements en ligne grâce à des mesures spécifiques (3D Secure pour les transactions supérieures à 30€ notamment).
Si vous ne souhaitez toujours pas payer avec votre carte bancaire en ligne, vous pouvez alors opter pour une carte bancaire virtuelle.
En quoi ça consiste ? Votre banque vous créé une carte bancaire pour chaque achat que vous effectuez en ligne. Concrètement, la carte bancaire virtuelle est détruite après votre achat en ligne et ne peut plus être utilisée.
Le paiement mobile
Selon la définition de Wikipédia, le paiement mobile concerne les transactions effectuées depuis un téléphone mobile et débitées soit sur une carte bancaire, soit sur la facture opérateur, soit sur un porte-monnaie électronique, qui peut être alimenté avec un dépôt de cash auprès d’un agent ou d’un commerçant.
Dans le cas du paiement mobile, vous pouvez donc déposer votre smartphone sur le Terminal de Paiement (TPE) du commerçant pour payer. Cela fonctionne comme un paiement par carte sans contact. En effet, de plus en plus de smartphones disposent aujourd’hui de la technologie NFC (technologie qui permet de payer sans contact).
Nous utilisons encore peu le paiement mobile en France. Pour autant, des applications mobiles comme Lyf Pay et Lydia se développent fortement. Elles devraient prendre de l’importance dans le quotidien des français dans les années à venir.
N’oublions pas non plus Apple Pay et Google Pay. Les deux géants américains sont en train de nouer des partenariats avec les principales banques françaises.
Payer avec son téléphone sera-t-il la norme de demain ?
Dans des régions du monde peu bancarisées comme l’Asie du Sud-Est ou encore l’Afrique, le paiement mobile est roi. En effet, peu de personnes disposent d’un compte bancaire. Par contre, elles ont toutes un smartphone !
Les portefeuilles électroniques
Un portefeuille électronique vous permet de payer vos achats en ligne, d’effectuer et de recevoir des virements, depuis un ordinateur, une tablette ou un smartphone.
Concrètement, vous approvisionnez votre porte-monnaie électronique avec votre carte bancaire (ou par un autre moyen de paiement permis par la société qui gère le portefeuille électronique). Et ensuite, vous n’utilisez plus votre carte bancaire pour payer vos achats en ligne. En effet, vous payerez sur le site du commerçant grâce à l’argent disponible sur votre portefeuille en ligne.
La société de portefeuille électronique la plus connue est Paypal. N’oublions pas cependant Paylib, lancé par plusieurs banques françaises en 2013.
Easy Lunch est un moyen de paiement au restaurant qui permet aux clients de retrouver son addition en ligne afin de la payer depuis sa table grâce à son smartphone. Pour être fonctionnel, Easy Lunch a donc besoin d’être connecté à la caisse enregistreuse du restaurant.
Qu’est-ce qu’une caisse enregistreuse ?
Selon Wikipédia, “une caisse enregistreuse est composée d’un clavier, d’une machine à calculer, de deux imprimantes et d’un tiroir-caisse sécurisé. Cette machine est manipulée généralement par un caissier et est souvent associée à un lecteur de code-barres.”
C’est l’outil de base de tout commerçant depuis de nombreuses années. Elle a donc été l’objet de nombreuses évolutions depuis sa création en 1878.
Ces dernières années ont notamment vu l’émergence de caisses enregistreuses tactiles et un renforcement de la réglementation en vigueur.
Dans ces caisses enregistreuses tactiles, il est nécessaire de distinguer le matériel et le logiciel. En effet, les acteurs ne sont pas les mêmes.
Les acteurs du marché
Sur la caisse tactile, nous pouvons distinguer les sociétés qui fournissent le matériel, celles qui éditent le logiciel de caisse et celles qui vendent le tout.
Les sociétés qui fournissent le matériel (qu’on appelle également “hardware” dans le milieu) comme Oxhoo vont fournir les terminaux de point de vente (TPV), les tiroirs caisse ou encore les imprimantes.
Les éditeurs de logiciel de caisse comme L’Addition ou Tiller Systems vont se concentrer sur le développement informatique du logiciel qui permet de gérer les encaissements.
Ces deux types d’acteurs travaillent donc en général ensemble pour offrir une prestation clé en main aux commerçants. C’est d’ailleurs le métier des revendeurs que de proposer ces services aux restaurateurs.
En effet, les revendeurs vont travailler avec des sociétés proposant du hardware et des éditeurs de logiciel de caisse afin de proposer une gamme suffisamment large à leurs clients et prospects. L’objectif étant bien évidement de répondre à tous les besoins.
Les revendeurs peuvent également eux-mêmes faire appel à des distributeurs pour augmenter leur force de frappe sur le volet commercial.
Voici un schéma pour mieux comprendre le fonctionnement. Il s’agit d’une explication simplifiée qui ne correspond pas toujours à la réalité parfois complexe de ce marché.
Notez par exemple qu’un fournisseur de hardware, un éditeur de logiciel ou un revendeur peut également avoir ses propres clients “en direct”.
La réglementation de la caisse enregistreuse
Depuis le 1er janvier 2018, une nouvelle réglementation est entrée en vigueur dans le cadre de la loi de finances 2016 : les caisses et logiciels d’encaissement doivent être sécurisés. En d’autres termes, chaque commerçant doit utiliser un logiciel de caisse certifié selon la norme NF525.
Attention, cela ne signifie pas que les caisses enregistreuses sont obligatoires. Mais que si vous avez une caisse enregistreuse, vous feriez mieux de vous assurer qu’elle est certifiée conforme à la norme NF525.
Pour aller plus loin
Vous trouverez également des articles traitant de problématiques plus précises :
